CHAPITRE 1
Depuis la logique sous tutelle, pour gérer l’instinct, jusqu’à la logique divine, pour gérer la conscience.
2 – L’Éternel Dieu travaille à libérer l’humanité de sa servitude spirituelle
Pour que chacun puisse s’investir au mieux vers l’accomplissement que Dieu prépare pour l’ensemble de l’humanité, nous devons regarder d’où nous venons et quel fut le cheminement spirituel de cette humanité. Il est en effet important de prendre conscience de sa propre spiritualité en rapport aux jours que nous vivons, pour ne pas avoir lutté contre la servitude de ce tuteur menteur toute notre vie et le suivre aveuglément durant sa projection sur terre. C’est parce que nous ne regardons généralement pas à l’ensemble de « l’Église », que sont nos démocraties chrétiennes, qu’il est facile de confondre un mode de fonctionnement par domination de son système émotionnel, avec celui par domination de l’humain, comme Satan était appelé à le faire. Celui qui est utilisé par Dieu comme l’église, pour apporter la bonne image encore incomplète de la volonté divine à celui qui lui est complémentaire devant Dieu, comme l’est la société en général, risque fort de se faire piéger par cette confusion.
En Jésus-
Si ce mode de fonctionnement peut apporter le respect des règles, il ne peut apporter le réel Amour divin. En Jésus-
Si les risques de pièges se trouvent multipliés dans les régimes totalitaires, par l’idolâtrie de leurs dirigeants, s’en croire protégés dans nos démocraties chrétiennes serait donc faire abstraction de ses propres faiblesses. Chacun possède en cela l’image de Moïse qui frappa le rocher en Nombres 20, contrairement à ce que Dieu lui avait dit de lui ordonner en son nom de faire sortir l’eau. Si Dieu se servit du rocher et non d’un humain, pour mettre en évidence le mode de fonctionnement de Moïse, qui allait l’empêcher d’entrer en Canaan, la terre sainte, ce n’est pas pour autant que nous ne devons pas en tenir compte aujourd’hui en Jésus-
Les faiblesses de nos démocraties se trouvent tout autant dans la présomption de liberté du plus grand nombre, au détriment parfois du respect de notre génétique, que dans la condamnation de celui qui lui est complémentaire, bien que faisant partie des « élus » déjà rachetés par Christ dans les cieux. Le problème qui se pose alors est de savoir discerner les erreurs de chacun, sans condamner personne, car Jésus couvre l’incompréhension de chacun durant le temps nécessaire pour lui permettre de se repentir. Jésus est certes venu nous rendre « Libres », mais seulement dans la liberté de pouvoir nous repentir de nos erreurs et ne plus pécher.
Aujourd’hui cette volonté divine est encore voilée au plus grand nombre et peut-
Nous devons ainsi nous en tenir à ce que la Bible a été donnée pour nous guider vers la compréhension de notre spiritualité et cela commence à partir du moment où Dieu appela l’humain : « homme », alors que nous ne sommes tous que dans l’apprentissage à devenir de vrais humains selon Dieu.
C’est en effet après que Dieu ait commencé de se révéler à l’humain, tant par des situations surnaturelles à ses yeux, qu’au travers de sa conscience, qu’Il le tint pour responsable de ne pas rester fidèle à ses préceptes.
L’accès à la conscience n’est pas le fait de devenir « conscient » d’une attitude ou d’un comportement à adopter au travers d’un quelconque apprentissage, mais bien l’ouverture à une capacité de comparaison intuitive, entre nos données génétiques et les analyses que nous appelons « examen de conscience ».
Les écrits bibliques ne nous relatent que très succinctement les millénaires précédents l’ouverture à cette conscience, durant lesquels l’homme n’existait que sous l’appellation d’homo sapiens, dans sa nature strictement charnelle, pour ne pas employer le terme offensant d’animal. Ce terme ne serait certes pas complètement faux, mais pas non plus des plus justes, car bien que de nature animale, l’homo sapiens se trouvait déjà dans une dimension dans laquelle aucun animal aujourd’hui ne lui serait réellement comparable.
Dans beaucoup de région du monde, il y a six mille ans, celui que nous appelons « homo sapiens », pour le différencier de nous, était déjà intellectuellement capable de se construire des outils, des armes, ainsi que des sites de vie structurés et régis par des sociétés très hiérarchisées. Les congénères d’Adam et Ève pratiquaient d’ailleurs l’élevage et la culture des plantes dans de nombreuses régions du monde. La logique sous tutelle dont tous étaient dotés, avait ainsi permis d’obtenir la progression que l’on connait, puisque vers cette période, nombreux étaient les peuples qui avaient déjà commencé à extraire certains métaux comme le cuivre et avaient donc dépassé depuis longtemps le stade de chasseur cueilleur du néolithique. À cette époque, l’homo sapiens était beaucoup plus avancé intellectuellement et psychologiquement que ne peut l’être tout animal aujourd’hui, bien que restant alors dans des structures de sociétés et de conflits pouvant paraitre basiques aujourd’hui.
L’homme de Neandertal, qui avait lui-
Durant tout ce temps, d’environ soixante-
Tout comme la conscience n’est pas ce dont nous pouvons apprendre à devenir conscients, les instincts ne représentent pas les seules réactions « instinctives ». Ils sont ce qui conduit l’intéressé vers une action, qu’elle soit instinctive ou réfléchie, sans qu’il lui soit possible d’en percevoir la comparaison directe avec sa génétique. Que ce soit par anticipation de l’acte ou rétrospectivement, seul son apprentissage peut ainsi conduire son quotient émotionnel vers une correction préalable de l’acte envisagé ou lui apporter un apprentissage complémentaire en vue d’un acte ultérieur, assimilé par lui comme semblable.
Chacun sait aujourd’hui, que Dieu a placé dans la génétique de chaque être vivant, un comportement inné, spécifique à sa race, assimilable à « son bien, et son mal », que l’on appel instincts. Ce comportement inné, est répétitif presque à l’infini, ce qui permet de retrouver aujourd’hui des races aux caractéristiques identiques depuis plusieurs millions d’années, toujours gérées par les mêmes instincts initiaux.
En plus de ces races souvent basiques, nous retrouvons des races toujours pourvues d’instincts de base, mais auxquelles s’ajoute une structure mentale permettant un respect plus ou moins correcte des règles apprises, leur permettant une plus grande adaptabilité à différents contextes de vie.
C’est dans ce type de catégorie animale que l’homo sapiens fut introduit sur terre par notre Créateur, avec une structure cérébrale capable de recevoir une logique, sur les valeurs de laquelle allait pouvoir se créer un système émotionnel individualisé. La duplication personnalisée de cette logique, selon la génétique du sujet, allait ainsi lui procurer une capacité d’actions et de réflexion en conformité avec cette logique, quel que soit son contexte de vie.
Nous retrouvons des structures assez semblables, chez les animaux domesticables, mais bien que doués de certaines capacités de comparaison plus que d’autres espèces, ils restent toutefois limités dans leurs analyses qui nécessitent sur eux un dressage parfois doux, parfois plus rugueux, comme l’homme sait le faire pour les utiliser. Nous pourrions dire qu’ils ont un début d’aptitude à corriger les données contenues dans leurs instincts, sans pour autant pouvoir déroger à la conformité de leur génétique, contrairement à la synthèse que l’humain d’hier et d’aujourd’hui peut faire, à partir de son système émotionnel.
Les analyses de l’humain lui permettent en effet de pouvoir évaluer l’intérêt apparent d’utiliser son adaptabilité à respecter ou à se détourner des préceptes écrits dans ses gènes par son Créateur, ce qui n’est pas forcément le cas chez les animaux.
L’emploi par l’humain de la personnalisation de cette logique dans son cerveau, peuvent ainsi le conduire à assimiler deux situations comme étant semblables et l’influencer vers des actions situées hors de la bonne gestion de sa génétique, prenant alors le nom de « péchés ». Le tuteur répressif placé par Dieu sur cette logique de dressage charnel, possède alors un droit punitif plus ou moins sévère, non pas selon son bon vouloir, car Dieu est maître des limites à lui accorder, mais en partie toutefois, tant qu’il se tient à l’intérieur de ces limites.
Comme nous l’avons dit dans le paragraphe précédent, si l’humain peut être doté de deux logiques différentes, elles sont toutes deux appelées à le maintenir sur le respect de sa génétique, même si la logique sous tutelle est basée sur les valeurs de l’amour égocentrique, alors que le Saint-
Contrairement à cette logique sous tutelle, le Saint-
Si notre quotient émotionnel est là pour en corriger la programmation, cela ne veut pas dire que celui qui a reçu le Saint-
Durant toute la longue période précédant Adam et Ève appelée « l’innocence », relatée bibliquement par quelques paroles qui en démontrent bien l’existence, l’homo sapiens ne pouvait bénéficier en aucune façon de toutes ces informations et rétro informations comparatives. Le fait que l’Éternel Dieu ait donc interdit cette connaissance spécifique de la conscience à Adam et Ève, était entièrement lié à cette logique, qui ne pouvait leur apporter qu’un simple apprentissage des règles liées à la conscience, et non toutes ces informations comparatives leur permettant d’orienter leur bien, sur celui de Dieu.
La rébellion de Lucifer prit ainsi l’humanité en otage au travers de la tentation dans laquelle il entraina lui-
L’absence des fonctionnalités indispensable à la bonne autogestion par l’humain de sa conscience, est peut-
Étant donné qu’il ne peut pas recevoir ces informations depuis son « cœur », tant qu’il ne possède pas la « logique » adéquate du Saint-
La désobéissance d’Adam et Ève, plaça effectivement l’humanité dans l’appartenance à ce tuteur, dont elle doit maintenant sortir, et doit pour cela vouloir utiliser son libre arbitre à prendre en charge ce que ce tuteur devant Dieu, était appelé à apporter de répressif sur l’homo sapiens. C’est pourquoi la nécessité d’une réconciliation avec notre Créateur est indispensable, pour qu’en Jésus-
Si au travers de ce baptême du Saint-
En raison de notre incapacité à en réécrire la programmation de l’action résultante, même si celle-
Lorsque Jésus initialise notre « cœur » de sa logique divine du Saint-
C’est là le premier temps que nous avons décrit dans le paragraphe précédent, durant lequel il reste indispensable de dominer au mieux la programmation non conforme à l’Amour divin dans notre cerveau, afin de produire une action au plus proche de la nature divine.
Dans ce que nous avons appelé le second temps que Dieu sait apporter à chacun, en Jésus-
Afin de ne pas compliquer davantage ce qui l’est déjà, nous n’approfondirons pas plus pour l’instant, ce que nous avons déjà dit dans le premier paragraphe à ce sujet.
Le principal à retenir pour comprendre l’utilité de cette nouvelle phase d’apprentissage que l’Éternel Dieu place devant nous en Jésus-
Heureusement pour nous, il est nul besoin de connaitre toutes ces corrections que Dieu veut opérer en nous pour être sauvés, puisque c’était déjà l’objectif divin avant la désobéissance de Satan, et que nous retrouvons la même vocation par grâce, au travers de l’obéissance de Jésus à la Croix. Dès l’instant où nous venons à lui, Jésus couvre tout péché dont nous nous repentons et lorsqu’il nous baptise de son Saint-
C’est ce mode de fonctionnement par Amour, qui déstabilise ceux appelés par Dieu à rester dans un fonctionnement par domination de leur système émotionnel, car eux-
C’est alors par incompréhension de ce que d’autres ne se sont pas trouvés construits sur les mêmes bases, bien qu’ayant parfois reçu le même enseignement selon sa perception, que celui qui est appelé à rester dans le fonctionnement par domination condamne facilement celui que Dieu veut lui rendre complémentaire dans un mode de fonctionnement par amour. La réciproque est d’ailleurs tout aussi vraie et c’est là la véritable faiblesse de nos démocraties, car plutôt que de s’unir dans la volonté divine de nos complémentarités l’un et l’autre luttent contre Dieu lorsqu’ils condamne l’autre plutôt que de le soutenir dans ses faiblesses.
Le pas n’est alors pas difficile à franchir vers la division ou vers la domination de l’autre au nom de Dieu, plutôt qu’à sa propre remise en cause personnelle devant Dieu, ce qui entre alors pleinement dans les cordes de Satan, le menteur.
Dieu ne peut pas en effet se servir des mêmes pour agir dans un mode de fonctionnement ou dans l’autre, car ce serait prendre le risque de perdre à jamais les bonnes valeurs de son témoignage, indispensable à la bonne valeur de son Amour. C’est ainsi que dans une société démocratique, l’église appelée à fonctionner sur un mode par domination de son système émotionnel est tout aussi indispensable au reste de la société recherchant l’Amour divin avec toutes ses imprécisions dues au fait que personne ne connait ce réel Amour sur cette terre.
Les plus extrémistes sont alors convaincus d’en posséder la réelle valeur et c’est là leur plus grande faiblesse que l’ennemi saura utiliser au jour de sa projection sur terre en tentant s’il lui est possible d’entrainer même des élus. Autant l’amour humaniste seulement conduit par la nature égocentrique est un danger, faute d’être conduit par le Saint-
C’est aussi pourquoi la séparation de l’église et de l’état est fondamentalement indispensable au même niveau que l’homme et la femme sont indispensables dans le couple pour pouvoir procréer naturellement. Chacun doit pouvoir entrer librement vers Christ et l’imposer aux autres, c’est manquer de confiance en Dieu.
Nous sommes aujourd’hui entrés dans le point de basculement d’un monde devant dominer son système émotionnel ancien, à celui appelé à la conquête de l’Amour divin. C’est pourquoi nos démocraties chrétiennes doivent savoir tenir compte sans se déchirer, de l’exemple laissé par l’Éternel Dieu sur Israël durant l’Ancien Testament.
Israël servit d’abord à apporter la révélation de la nature de l’Éternel Dieu, puis à éduquer l’humain à dominer son système émotionnel pour lui obéir, afin de se tenir à l’écart de l’ange exterminateur et sortir de l’esclavage d’Égypte. Une fois sorti d’Égypte, le temps fut très long au désert, avant que Moïse n’installe une partie de son peuple à l’est du Jourdain, sur le même mode de fonctionnement qu’au désert. Il envoya ensuite à la conquête de Canaan, de l’autre côté du Jourdain, ceux qui allaient pouvoir hériter d’une plus grande sainteté au travers de leurs multiples combats guidés par Dieu et soutenus par les hommes en âge de se battre appartenant aux premières tribus. C’est ainsi que leurs combats leur permit de prendre conscience des erreurs grossières, que les premiers ne se seraient pas permis, et d’accéder à la repentance sous la conduite du Saint-
Cette meilleure épuration charnelle vers la sainteté, servit de base, plusieurs siècles après, à la venue du Sauveur en la personne de Jésus-
Au travers de cet accomplissement par un seul, nous retrouvons alors, dans le Nouveau Testament, le même cheminement que durant l’Ancien Testament, vers la bonne gestion collective de la domination du système émotionnel humain. Le Guide de Dieu, vue physiquement par tous les hébreux au travers de la colonne de fumée le jour et celle de feu la nuit fut certes remplacée par le Saint-
Dans la continuité de la sortie du désert après 1948 et la restauration d’Israël, nous retrouvons deux périodes forts distinctes, pour ceux qui les ont vécues. La première dura de 1948 jusqu’en 1967/68 et la seconde dans laquelle nous sommes encore aujourd’hui. Si la première de ces périodes n’apporta pas de changement de mode de fonctionnement, c’est qu’elle correspondit à celle de l’installation à l’est du Jourdain, des deux tribus et demie conduites par Moïse, sur le même mode de fonctionnement que précédemment au désert, comme nous venons de le dire. La seconde dans laquelle nous sommes depuis lors, correspond au franchissement du Jourdain par les autres tribus hébreux, et l’adoption d’un mode de fonctionnement par amour, que les démocraties sont appelées à utiliser elles-
C’est pourquoi aujourd’hui nous retrouvons un grand nombre qui souhaiteraient retourner à l’est du Jourdain, dans un mode de fonctionnement par domination, non pas de leur système émotionnel, mais de l’humain, sans le respect de chacun sur cette terre.
En cela nous en sommes à la défaite de Aï après Jéricho, ce qui laisse beaucoup de place aux systèmes théocratiques, qui utilisent la parole de Dieu à des fins de masquer leur appétit de pouvoir sur le monde et c’est pourquoi les démocraties chrétiennes doivent savoir faire abstraction de leurs différences pour s’unir dans le soutien de ceux que l’ennemi de nos âmes voudrait éliminer.
Si leur rôle fut longtemps d’évangéliser le reste du monde, souvent très maladroitement, celui d’aujourd’hui est de savoir se tenir dans le respect de chacun malgré ses différences et parfois même ses belligérances, sans répondre aux coups par d’autres coups, sans pour autant se soumettre, mais en agissant à l’image de Jésus que notre nature humaine sacrifiât à la Croix. Si Jésus a dit en effet allez et faites de toutes les nations des disciples, il a également dit Aimez-
Après que Satan et son système répressif aura été vaincu par « l’Église », c’est-
L’ensemble de l’humanité sera alors appelé à se débarrasser de toutes ses mauvaises traditions la conduisant hors des voies divines, tout en conservant une gestion dans l’amour et non par domination de chacun, comme il en fut en Canaan pour les hébreux. Ce ne sera pas là une moindre chose, car si Satan aura disparu après s’être retourné contre le reste de sa descendance, l’intelligence artificielle mal utilisées par certaines nations les aura placées dans un système tout aussi restrictif, que les démocraties devrons surpasser sur les valeurs données par Dieu à Israël et accomplies par Amour.
C’est au travers de cet accomplissement qu’Israël sera libérée du témoignage du passage de l’Éternel Dieu sur terre, reçu alors charnellement et accompli spirituellement par les nations.
Israël aura en cela été libéré de son devoir de Gardien du témoignage du passage de l’Éternel Dieu sur terre, afin que l’humanité seulement pourvue de l’amour égocentrique puisse se recentrer par tâtonnements successifs, sur les voies divines portées par Israël.
Le long travail du Millénium qui arrive sur le monde ne sera donc pas nécessairement sans difficultés, mais aujourd’hui l’opportunité est donnée à chacun de se tourner vers l’Éternel Dieu en Jésus-
Aucun système sociétal, autre que la démocratie, ne tolère ce droit à l’erreur en vue du pardon de ses péchés par la repentance comme Jésus est venu l’apporter. Le peuple qui recherche la gestion par amour, mettra peut-
La différence entre régner avec un sceptre de fer dans une démocratie et la domination des théocraties qui tentent aujourd’hui de dominer le monde, est que dans les démocraties, c’est le niveau d’intégrité dans lequel chacun est tenu pour responsable d’entrer dans sa propre remise en cause personnelle, qui est le moteur de sa propre progression. Si ces règles lui sont imposées, avant sa propre remise en cause, ce n’est donc pas son libre arbitre qui agit, mais sa peur de la répression.
C’est pourquoi toute forme de théocratie ne peut avancer dans le parfait objectif divin d’apporter le Saint-
Chacun est donc confronté à ce choix aujourd’hui, soit de s’enfoncer dans la domination drastique appelée à disparaitre, soit à vouloir travailler à sa propre remise en cause dans l’espoir qu’un jour il pourra Aimé son prochain comme lui-
En Jésus-
C’est pourquoi, afin de confirmer cet objectif divin, nous allons maintenant regarder un peu plus en détail, ce système émotionnel qui crée tant d’embûches à chacun et à l’humanité entière.
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