La colombe de Paix sur le monde ne peut être apportée que par le Saint-Esprit en Christ, car Lui seul peut valoriser l’Amour divin pour son prochain, dans le véritable arc-en-ciel que forme la génétique individuelle humaine.

Pour y accéder aujourd’hui, l’Épée de l’Esprit doit être maniée avec l’Autorité de Christ et non dans la présomption de régner sur le monde au nom de Christ, car cette épée est un glaive à double tranchants, qui se retourne contre son porteur, s’il est mal utilisé.

C’est pour cette raison qu’au sein de la société dans nos démocraties, le couple baptisé du Saint-Esprit, n’est plus simplement appelé à résister à Satan mais à le vaincre. L’Épée de l’Esprit, permet alors à l’un d’amener le respect de la loi divine et à l’autre, l’Amour divin, dans une complémentarité qui ouvre l’Autorité à Christ, de vaincre progressivement tout ce que cette tutelle avait construit de charnel en eux.

La Paix en Christ

Vision spirituelle de la géopolitique mondiale

Si Jésus a tout accompli « pour nous », nous n’avons pas encore tout accompli : AVEC Lui.

En cette fin de sixième jour de Dieu, l’heure est à l’accomplissement individuel de la levée progressive de la « couverture » de Christ, pour entrer dans sa nature divine dont il veut doter à la fois notre cœur et notre cerveau.

Il nous faut pour cela redevenir de petits enfants qui ne « savent pas » et c’est pourquoi il ne le demande pas à l’église, car il la soutient dans la vocation de « savoir » adopter le bon comportement émotionnel, pour lutter du mieux qu’elle peut contre le pouvoir répressif de Satan, placé par Dieu sur la nature d’origine animale de l’humain pré Adam et Ève.

Il demande donc à l’Église de Christ, que sont devenues nos démocraties chrétiennes, de produire le contexte adéquat, permettant à chacun l’entrée dans l’Église de Philadelphie afin de réécrire dans sa nature divine, son système émotionnel dans son cerveau, s’il est déjà doté du Saint-Esprit dans le « cœur ».

La « Couronne » que celle-ci aura déjà reçu sur terre, est cette nature de Christ dans le cerveau humain, que Jésus doit encore couvrir aujourd’hui, tant que la programmation réalisée dans la nature originelle y subsiste.

Au jour où, avec l’entière participation de l’humain, Jésus dans les cieux aura reconstruit dans la nature divine, la totalité du système émotionnel de celui-ci, il règnera alors sur terre et dans les cieux et Satan sera lié pour mille ans. Ce sera alors l’entrée dans le septième jour de Dieu, à partir duquel tout humain recevra le Saint-Esprit dès sa procréation, durant le millénium qui s’en suivra. La vocation de l’Église de Christ ayant en cela pris fin, la perfectibilité des sentiments individuels et collectifs, provenant des diverses cultures impies, introduites sous la tutelle de Satan, sera assurée par celle qui sera devenue l’Épouse de Christ.

C’est ce que tente d’éviter aujourd’hui le grand dragon décrit en Apocalypse douze au travers de Satan projeté sur terre, qui se retourne contre sa descendance, faute de pouvoir atteindre nos démocraties occidentales, couvertes par l’œuvre de Jésus à la Croix, que l’apôtre Jean appela « l’Église ».